Date de publication : 25/10/17
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4 projets strasbourgeois sur 29 et 1 projet en partenariat avec l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne ont été retenus par le Ministère de l’enseignement supérieur et de la
recherche et le Commissariat général aux investissements (Cgi) : ce succès obtenu avec nos partenaires CNRS et Inserm confirme l’excellence de la recherche, de la formation et de l’innovation à l’Université de Strasbourg. Avec les universités d’Aix-Marseille et de Bordeaux, les universités IdEx confortent leur rôle de leader dans la recherche d’excellence. C’est aussi un encouragement à poursuivre nos partenariats pour dépasser de nouvelles frontières.
La nouvelle est tombée mardi 24 octobre en fin d’après-midi. L’Université de Strasbourg a décroché quatre projets « graduate schools », écoles universitaires de recherche, au programme d’investissements d’avenir 3, ainsi qu’un projet en réseau avec l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne. Au total, 29 projets (sur 191) ont été retenus par le Ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation et le Cgi sur proposition d’un jury international. Parmi eux, 33 % proviennent des trois universités lauréates IdEx pérenne (Initiatives d’excellence – programme investissement d’avenir) : Aix-Marseille, Bordeaux et Strasbourg. A Strasbourg, les équipes de recherche concernées par ces 4 projets obtiennent un montant de 25,7 M€ sur dix ans, elles réunissent au total 23 unités de recherche, 7 composantes de formation et 4 écoles doctorales.
L’ensemble des projets sélectionnés est le résultat d’un effort de cohérence et de structuration de la recherche sur le site strasbourgeois : les groupes projets se sont réunis autour d’une thématique spécifique, ont fédéré des laboratoires et des équipes multidisciplinaires. C’est donc une logique de fédération, en s’appuyant sur les atouts de chaque communauté, ou de spécialisation qui a permis ce nouveau succès.
Les projets retenus concernent la chimie des systèmes complexes, les nanomatériaux et nanosciences quantiques, la biologie moléculaire et cellulaire intégrative, l’approche pluridisciplinaire de la douleur et de ses traitements, la démographie et les sciences de la population. Si trois secteurs ont déjà une visibilité et reconnaissance nationales, européennes et internationales, un domaine émerge en neurosciences : la gestion de la douleur. La distinction de ces recherches met aussi l’accent sur l’importance de la recherche fondamentale dans le développement de nouvelles connaissances utiles à toute la société. Le travail opiniâtre des équipes de chercheurs s’en trouve conforté. Ce nouveau modèle de « graduate school à la française » représente une avancée nouvelle dans le lien enseignant- chercheur-étudiant dans la préparation des cerveaux de demain.
L’enjeu des écoles universitaires de recherche / graduate schools : un continuum master – doctorat – valorisation et une reconnaissance internationale
L’objectif du ministère par le biais de l’appel à projets « écoles universitaires de recherche » est de promouvoir en France le modèle reconnu internationalement des « graduate schools ». Les projets retenus associent université et organismes de recherche, ont une forte dimension internationale et des liens renforcés avec les débouchés et les acteurs économiques.
Ce modèle vise à renforcer l’approche recherche au sein des formations à partir du master. Il induit un vrai changement dans l’organisation universitaire française, favorisant la lisibilité des filières à l’international et créant un continuum entre master, doctorat et insertion professionnelle, sur la base d’une recherche du plus haut niveau. Les « graduate schools » sont aussi l’occasion de créer une logique de communauté, où l’étudiant intègre une filière d’excellence dès son entrée en master, où « l’école » devient un lieu de cohérence entre le second cycle et la sortie de l’université et où les enseignants, étudiants et chercheurs se retrouvent fédérés. Au quotidien, ce sont des enseignants et chercheurs de plus en plus motivés, des étudiants passionnés et de mieux en mieux formés. L’enjeu va donc bien au-delà de la formation et de la recherche, puisque ces projets mettent en place des synergies créant l’environnement nécessaire aux nouvelles découvertes qui permettront de répondre aux enjeux sociétaux et besoins émergents ou futurs de notre société. Initiatives d’excellence : un vrai levier pour les projets innovants de haut niveau Ce nouveau succès pour l’Université de Strasbourg est également le résultat du travail initié par les Labex avec le Programme d’investissement d’avenir 1 depuis 2011. Six Labex (CSC - Medalis - INRT – NetRNA – MitoCross- NIE) et 2 Equipex (UNION, UTEM) sont impliqués dans ces nouvelles « graduate schools ». C’est aussi le fruit des collaborations rapprochées entre l'Université de Strasbourg, les organismes de recherche - CNRS et l’Inserm- et la SATT Connectus Alsace, un instrument également issu du programme d’investissements d’avenir au service de la valorisation des recherches. C’est une fois de plus la démonstration que le travail transdisciplinaire et l’esprit collectif permettent de mettre en commun les meilleurs atouts au service d’un même objectif. Les trois universités « Initiative d’excellence pérenne », Aix-Marseille, Bordeaux et Strasbourg, obtiennent 10 projets sur les 29 retenus par le jury international. Ces trois universités, en région, sont la preuve d’une recherche scientifique française de haut niveau dont nous pouvons être fiers. Une incitation à poursuivre les efforts Cette première vague de succès doit être considérée comme une incitation à poursuivre les efforts de structuration et de cohérence afin que les projets non retenus ainsi que de nouveaux projets puissent candidater lors du prochain appel du ministère. Retrouvez les projets retenus en annexe à télécharger.
Ce modèle vise à renforcer l’approche recherche au sein des formations à partir du master. Il induit un vrai changement dans l’organisation universitaire française, favorisant la lisibilité des filières à l’international et créant un continuum entre master, doctorat et insertion professionnelle, sur la base d’une recherche du plus haut niveau. Les « graduate schools » sont aussi l’occasion de créer une logique de communauté, où l’étudiant intègre une filière d’excellence dès son entrée en master, où « l’école » devient un lieu de cohérence entre le second cycle et la sortie de l’université et où les enseignants, étudiants et chercheurs se retrouvent fédérés. Au quotidien, ce sont des enseignants et chercheurs de plus en plus motivés, des étudiants passionnés et de mieux en mieux formés. L’enjeu va donc bien au-delà de la formation et de la recherche, puisque ces projets mettent en place des synergies créant l’environnement nécessaire aux nouvelles découvertes qui permettront de répondre aux enjeux sociétaux et besoins émergents ou futurs de notre société. Initiatives d’excellence : un vrai levier pour les projets innovants de haut niveau Ce nouveau succès pour l’Université de Strasbourg est également le résultat du travail initié par les Labex avec le Programme d’investissement d’avenir 1 depuis 2011. Six Labex (CSC - Medalis - INRT – NetRNA – MitoCross- NIE) et 2 Equipex (UNION, UTEM) sont impliqués dans ces nouvelles « graduate schools ». C’est aussi le fruit des collaborations rapprochées entre l'Université de Strasbourg, les organismes de recherche - CNRS et l’Inserm- et la SATT Connectus Alsace, un instrument également issu du programme d’investissements d’avenir au service de la valorisation des recherches. C’est une fois de plus la démonstration que le travail transdisciplinaire et l’esprit collectif permettent de mettre en commun les meilleurs atouts au service d’un même objectif. Les trois universités « Initiative d’excellence pérenne », Aix-Marseille, Bordeaux et Strasbourg, obtiennent 10 projets sur les 29 retenus par le jury international. Ces trois universités, en région, sont la preuve d’une recherche scientifique française de haut niveau dont nous pouvons être fiers. Une incitation à poursuivre les efforts Cette première vague de succès doit être considérée comme une incitation à poursuivre les efforts de structuration et de cohérence afin que les projets non retenus ainsi que de nouveaux projets puissent candidater lors du prochain appel du ministère. Retrouvez les projets retenus en annexe à télécharger.
Document à télécharger
- Nom du fichier : CP-4projetsEURuniversites… Poids du fichier : 63 Ko
- Nom du fichier : CP-annexeprojetsEUR-unive… Poids du fichier : 93 Ko